Au pied du sapin enceint de guirlandes
Les paquets trônent comme des offrandes,
Brillent les boules aux mille couleurs
De leurs reflets d’argent si cajoleurs.
A Noël, je ne peux rien m’interdire
Par ce fait j’en profite pour t’écrire,
Ainsi ramène-moi dans ton traîneau
Ce qui serait le plus beau des cadeaux.
Je voudrai la plus grande des échelles
Afin qu’elle serve de passerelle
Pour aller choyer ceux qui sont partis
Et qui m’attendent dans leur paradis.
Les paquets trônent comme des offrandes,
Brillent les boules aux mille couleurs
De leurs reflets d’argent si cajoleurs.
A Noël, je ne peux rien m’interdire
Par ce fait j’en profite pour t’écrire,
Ainsi ramène-moi dans ton traîneau
Ce qui serait le plus beau des cadeaux.
Je voudrai la plus grande des échelles
Afin qu’elle serve de passerelle
Pour aller choyer ceux qui sont partis
Et qui m’attendent dans leur paradis.
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